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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Surface clairière profonde

Annabelle AmorosAnnabelle Amoros,Ban de la roche, 2012

 

L’équipe de la bibliothèque est en train de constituer un fonds qui mettra en dialogue la photographie à la littérature. Cette collection sera mise à la disposition du public dès l’automne 2015, inaugurant ainsi une partie du quatrième étage. Parmi les acquisitions, des livres rares, modernes ou encore originaux. Originale l’est cette collection invisible pull éditée par l’Asphodèle /espace pour l’art à Arles qui a pour leitmotiv de faire rencontrer un auteur et un artiste. Parmi ceux-ci, ce petit livre Surface clairière profonde avec une rencontre de la photographe Annabelle Amoros et l’écrivain Jean-Christophe Bailly. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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L’esprit à sec et la tête ivre

 

Album Louis NoirTristan Corbière, Album Louis Noir, feuillet 15 (détail)

 

                                                     À mon cotre LE NÉGRIER
                                     vendu sur l’air de « Adieu, mon beau navire ! »

                                                 Allons file, mon cotre !                                                 Adieu mon Négrier.                                                 Va file aux mains d’un autre                                                 Qui pourra te noyer… (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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Une expérience fondamentale

À l’occasion de l’exposition des œuvres picturales d’Henri Michaux à partir du 21 février 2015 au sein de la Fondation Jan Michalski, la bibliothèque poursuit son petit cycle autour du poète belge. Après Ecuador et Un Barbare en Asie, c’est vers un ailleurs qui n’est pas géographique que nous conduit cette fois Henri Michaux.

 

« Ce que j’y ai vu, même risible, compte encore, m’est plus réel et inoubliable que tous les pays que j’ai parcourus. »
Henri Michaux

Corot

Jean-Baptiste Corot, Orphée ramenant Eurydice des enfers

Ce n’est pas pour l’un des paradis artificiels qu’un matin de janvier 1955 Henri Michaux embarque, en compagnie de Jean Paulhan et Édith Boissonnas, sur la plage d’envol de son appartement de la rue Séguier : (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, 2.20 Littérature belge de langue française

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La porte étroite

Plus tu es grand, plus il faut t’abaisser.
(Si 3,18)

Gilles Demas, 1

© Gilles Delmas, Jérusalem & l’air, Paris : Geuthner, 2004

Il y avait à l’époque romaine, lit-on, une porte de la ville de Jérusalem si étroite que les chameaux devaient être délestés de tout leur paquetage et si basse qu’ils ne pouvaient la franchir sans mettre genou à terre. Elle se serait nommée la Porte de l’aiguille et aurait inspiré au Christ la parole : « Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille… » (Mc 10,25). C’est pourquoi comme le roi David en son temps, c’est pauvre et monté sur un âne que lui-même y entrera.

(suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Le nez dans le ruisseau

l'Ile de St-Pierre© Jacques Laruelle, L’Ile de St-Pierre, décembre 2014

À la suite d’une rencontre au début des années 2000 entre François Lagarde des éditions Hors Oeil et la réalisatrice Christine Baudillon avec le poète-philosophe Philippe Lacoue-Labarthe (1940-2007), ils se décident à tourner sur les lieux des auteurs qui ont pu compter pour ce dernier et sa pensée. Commence alors « un voyage visionnaire » sur les chemins européens avec Iena pour Hegel, Sils-Maria pour Nietzche, Tübingen pour Hölderlin etc… Manière de chercher des « dormances » mais aussi faire « don d’un poème à travers un film » ; un premier film sera tourné en hommage au poème Andenken de Hölderin écrit entre 1803 et 1805 après un séjour à Bordeaux et un second Entretiens à l’Ile St Pierre où il est question de son hôte le plus célèbre, Jean-Jacques Rousseau. La mort de Philippe Lacoue-Labarthe en 2007 viendra mettre malheureusement un point final à ces pérégrinations intellectuelles. Reste de beaux moments d’échange et d’amitié entre Jean-Christophe Bailly et Philippe Lacoue-Labarthe comme dans l’extrait suivant.  (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Ex oriente lux : un barbare en Asie

À l’occasion de l’exposition des œuvres picturales d’Henri Michaux en février 2015 au sein de la Fondation Jan Michalski, la bibliothèque vous propose ces mois-ci une série d’articles sur le poète belge.

Ex oriente lux 1

© Harry Gruyaert, Calcutta, 2001/Magnum Photos

Au revers qui paraît l’endroit, au cœur d’une prise sans emprise, au long des heures, à l’orée de l’infiniment prolongé de l’espace et du temps, attrape-dehors, attrape-dedans, attrape-nigaud, dis, qu’est-ce que tu fais? Qu’est-ce que tu es, nuit sombre au-dedans d’une pierre?

Les hommes, tu ne les as jamais pénétrés. Tu ne les as pas non plus véritablement observés, ni non plus aimés ou détestés à fond. Tu les as feuilletés. Accepte donc que par eux semblablement feuilleté, toi aussi tu ne sois que feuillets, quelques feuillets.

Il faut un obstacle nouveau pour un savoir nouveau. Veille périodiquement à te susciter des obstacles, obstacles pour lesquels tu vas devoir trouver une parade… et une nouvelle intelligence.

Ce pourrait être les mots d’un poète taoïste mais ce sont ceux d’Henri Michaux à l’heure des bilans dans le recueil quasi-mystique d’apophtegmes Poteaux d’angle. Que ce soit à travers ses dessins ou sa prose et ceci tout au long de sa vie, l’Asie aura été l’espace géographique qui aura le plus profondément marqué et influencé l’œuvre d’Henri Michaux. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française, 2.20 Littérature belge de langue française, 3.10 Littérature indienne

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Le rêve de l’autre

Mexico

© Werner Bischof, Mexico City. House of Mexican artist Frida KAHLO. Portraits of Diego RIVERA and Mao ZEDONG. 1954.

Telle une circonvolution de la roue Ferris dans Au-dessous du Volcan, le Mexique (et l’Amérique du Sud) revient à nous cet automne avec Viva  un « récit sans fiction » de Patrick Deville et Europe-Amérique latine, les écrivains vagabonds de Philippe Ollé-Laprune. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Le reste est littérature

Nous parlons toujours de la guerre, qui est la grande mesure du courage ; j’entends la grande mesure temporelle, peut-être la seule, mais ni vous ni moi ne l’avons jamais faite.
Charles Péguy, Victor-Marie, comte Hugo

Je ne puis plus rien lire après Péguy. Tout le reste est littérature.
Romain Rolland, Péguy

La guerre© Otto Dix, Der Krieg, peinture sur bois (1929-1932)

Le 5 septembre 1914, Charles Péguy tombe à Villeroy au cours d’un des premiers assauts de la Bataille de la Marne qui marque la fin de l’avancée des troupes allemandes (à vingt kilomètres de Paris) après les deux semaines de « Grande retraite » des unités françaises et britanniques. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Être bête

 

être bête©Albert Gusi, Intrusos

Bien camouflé derrière Montesquieu, Diderot, Voltaire ou encore Rousseau, Georges-Louis Leclerc Buffon (1707-1788) est un autre grand penseur des Lumières. Boulimique de travail, il passa sa longue vie à écrire son Histoire naturelle. Cette dernière se compose de trente-six volumes, les textes sont d’une incroyable qualité d’écriture. De l’infime à l’immensément grand, celui qui restera jusqu’à ses derniers jours « frais comme un enfant » passe tout le vivant en revue : des mers aux montagnes, des coquillages aux bêtes. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Voix de ceux qui n’en ont pas

Il y a des choses dont il est impossible de parler. On ne peut les évoquer qu’en peignant. Et encore, à dire vrai, même cela n’est pas possible. (Jacek Dehnel)

C’était une chienne, elle s’appelait Vanda, pas avec un w, un v simple, d’animal errant qu’elle était. (Antonio Tabucchi)

La compassion absolue est le seul réel dans un univers où tout est illusoire sauf la douleur. (Yves Bonnefoy)

 Le chien
Francisco de Goya, Le Chien, 1820-1823.

 

Entre 1820 et 1823, Francisco de Goya peint a secco sur les murs de sa maison de campagne au nom prédestiné, la Quinta del Sordo (« Maison du Sourd »), la série de ses quatorze Peintures noires (suite…)

Classé dans: 1.30 Littérature polonaise, 2.10 Littérature française, 6.10 Littérature italienne, VARIA

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