Journal du journal de La Construction
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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Couldn’t put Humpty together again

Eggleston© William Eggleston. Untitled, Memphis,1970

 

« Tu n’auras à piéger personne ; la vérité suffit toujours. Je suis allé au catéchisme presbytérien et j’ai retenu ceci : l’homme est conçu dans le péché et naît dans la corruption ; il passe de la puanteur des couches à la puanteur du suaire – il y a toujours quelque chose d’enfoui. ». C’est la sentence que lance le gouverneur Willie Stark à son conseiller personnel Jack Burden – trop récalcitrant à aller fouiller dans le passé réputé sans faille du juge Irwin. Pour monter la trame de son roman Les Fous du roi, Robert Penn Warren (1905-1989) s’est inspiré de l’épopée du gouverneur puis sénateur populiste de Louisiane Huey Long. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Un cinéma en vers libre

H.D.H.D.

 

« Qu’aimeriez-vous le plus faire, connaître, être au cas où vous ne seriez pas satisfait ? »

 

En ce moment même, je suis impliquée dans le cinéma. Nous avons presque terminé un court drame à tendance lyrique de quatre bobines, réalisé dans ce village-ci et dans les environs avec quelques personnes du cru et des amis anglais. Le travail m’a enchantée, je ne me suis jamais tant amusée et j’ai appris moi-même à utiliser le petit projecteur ; j’ai ainsi passé littéralement des heures seules dans mon appartement à faire défiler des montagnes, les rues du village et mes propres connaissances à travers la lumière, la lumière et la lumière. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine, VARIA

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Vanishing Point

Zabriskie PointZabriskie Point (Etats-Unis), 2000. Crédits : © Antoine D’Agata / Magnum Photos

 

Dans son esquisse à un troisième journal, Max Frisch écrivait qu’aux américains leur manquait un rapport au tragique. Joan Didion dans son Année de la pensée magique – essai remarquable et sans détour sur la mort de son mari John Gregory Dunne – n’enlèvera en rien  la pertinence de la remarque de l’écrivain zurichois. Pas de tragédie donc, elle attaque le deuil comme elle seule sait le faire. Comme elle l’avait fait pour l’avortement de Maria dans Play It As It Lays : d’une façon clinique, laconique et cruelle. Né dans une vieille famille américaine de souche alsacienne en 1934, elle fourbira sa plume dans les grands magazines de l’époque Vogue ou encore le New York Time avec de longs reportages qui seront regroupés sous le titre Amérique pour l’édition française avant de passer aux romans. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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On n’est pas des indiens c’est dommage

Indiens© Guy le Querrec, Sur la piste de Big Foot

Avec son visage émacié et sa fine barbe, on pourrait le prendre facilement pour le frère jumeau d’Ezra Pound – lequel qualifiait Jaime de Angulo d’ « Ovide américain ». Jaime de Angulo est un drôle de personnage comme seuls les Etats-Unis savent en accoucher. Né en 1887 à Paris dans une famille d’aristocrates espagnols, il part vers les Etats-Unis au début du XXème siècle et c’est là-bas que Jaime de Angulo devient cow-boy et s’éprend des cultures indiennes en train de péricliter dans le Nord de la Californie. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Los Angeles transfert

Los Angeles
© René Burri, USA. Los Angeles, California, 1984

New-York a son Manhattan Transfert ; Chicago, son Sister Carrie ; Los Angeles, quant à elle, n’aurait pas de roman total bien à elle. Pourrait-on l’expliquer par leurs formes si différentes ? (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Vaine tentative d’épuisement d’une biographie d’un médecin de campagne

Christophe Colomb
© Robert Frank, View from hotel room window, Butte, Montana, 1956

Mis quelque peu à l’ombre par l’Ezra Pound des années 30-40, William Carlos Williams connut une gloire tardive avec la publication de son long poème Paterson (1946) – du nom de sa ville de naissance (qui est aussi celle d’Allen Ginsberg). (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Les premiers jours

Les premiers jours

Charles Olson (1910-1970) auteur des célèbres Maximus Poems est un arrivé tardif dans le monde de la poésie. Après avoir travaillé dans la haute administration à Washington, il quitte tout et reprend sa thèse d’étudiant en littérature sur Moby Dick et la publie en 1947 sous le titre Appelez-moi Ismaël. Un essai étrange, surprenant par sa construction quelque peu brouillonne et emportée – c’est aussi ce qui fait son charme. Il est facile de voir ce qui a harponné Olson dans sa fascination pour l’œuvre magistrale d’Herman Melville, cette matrice où sont réunis tous les thèmes fondateurs de la littérature américaine. L’extrait ci-dessous en présente certains. La suite de Appelez-moi Ismaël se poursuivra par une description de l’industrie de la baleine ou encore l’influence de Shakespeare sur Melville. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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« Agh, c’est pas du tout comme ça. »

Intervenir

 

Goûts.

« Il n’y a aucune raison pour que le même homme aime les mêmes livres à dix-huit ans comme à quarante-huit.
Il y a certaines divisions, certaines dissociations que je m’abstiens de faire parce que je ne pense pas qu’à mon âge, je doive imposer au jeune lecteur les goûts d’un homme mûr.
Dieu merci il est des livres qu’on apprécie SURTOUT avant vingt-cinq ans, et d’autres livres qu’on peut ENCORE lire à quarante-cinq et qu’on souhaite pouvoir lire au déclin de sa vie.
Réalisme, romantisme, les hommes tels qu’on les voit, les hommes tels qu’on les imagine ou tels qu’ils sont « dramatisés », les hommes tels qu’on imagine tout simplement qu’ils ne sont PAS… (suite…)

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise, 8.20 Littérature américaine

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Youth

Youth_Pompei_Sappho

“For many years, I felt that my youth had been wasted. I spent my adolescence drinking, taking dope, robbing, and fucking around, when I could have been learning to fluently read Sappho and Thomas Mann in the original. But, while I still feel that it would be wonderful to fluently read Sappho and Thomas Mann in the original, I no longer feel that my youth was wasted. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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