Journal du journal de La Construction
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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Liberate me for New Year’s Eve

Theo

Au terme de sa résidence d’écriture à Montricher, Theo Hakola nous a fait le plaisir de donner en solo un concert dans l’auditorium. Voici la seconde chanson du set Liberate me for New Year’s Eve :

(suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine, VARIA

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… et Pierre Jeanneret

par Emmanuel Adely

eas

 Ce serait un hommage à un homme, à un homme inconnu, méconnu ? Inconnu. Pierre Jeanneret. Qui ? Le cousin de, toujours à préciser – un homme à préciser -, insaisi, sur lequel rien ou quasiment n’a été fait ou dit, un hommage à la discrétion. À l’élégance de l’effacement, derrière l’œuvre, un hommage à l’engagement, un engagement total, un engagement de quinze ans, derrière l’œuvre, sous l’immensité de l’œuvre. Quelle œuvre ? Une ville. Chandigarh. Rien moins qu’une ville : un monde. Ce serait l’hommage à cette œuvre-là – de cet homme-là à préciser.

… et Pierre Jeanneret est un work in progress, l’annonce d’un film, une dérive dans une vie et dans une ville.

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Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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Histoire d’une dévoration

par Alban Lefranc

8heures

« J’avais, tout simplement et sans en avoir conscience, fait de l’imaginaire de Döblin ma propre vie. » Rainer Werner Fassbinder n’a pas seulement adapté pour la télévision le roman monstre d’Alfred Döblin, Berlin Alexanderplatz, paru en 1929, à travers une série de quatorze épisodes. Entre lui et ce livre qui, adolescent, « l’empêche de crever », il y a bien plus qu’un dialogue ou le choix calme et réfléchi de certains thèmes ou principes esthétiques : l’amour comme l’instrument le plus efficace de l’oppression sociale, l’élévation dans le mythe de personnages en apparence insignifiants, le goût du mélodrame, etc. Dans presque tous ses films, le cinéaste tord le roman à travers ses obsessions propres, le déplace, le réinvente, mais le roman résiste et le tord en retour.
L’écrivain Alban Lefranc, actuellement en résidence, décrit pour nous quelques moments de cet étrange corps à corps entre un livre et un cinéaste.

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Classé dans: 7.10 Littérature allemande

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Beckett et les concombres

slide

Né en 1986, Matías Battistón est un traducteur littéraire argentin. Au cours des cinq dernières années, il a signé la traduction en espagnol de plus de trente ouvrages d’auteurs tels que Marcel Proust, James Joyce, Oscar Wilde, John Cage, Édouard Levé ou encore Samuel Beckett.
C’est sur ce dernier qu’il a choisi d’intervenir ce mardi, nous offrant une conférence presque borgésienne sur l’expérience vertigineuse de traduire l’auteur de L’innommable.

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise

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L’alphabet plutôt que rien / L’arbre intégral

Constance Chlore et Donatien Garnier font partie des premiers auteurs en résidence pour cette année 2018. Ils nous offrent chacun une lecture de leur poésie.

*

constance

Constance Chlore a choisi de nous lire des extraits de son dernier recueil L’alphabet plutôt que rien qu’elle définit comme « poèmes-étapes, des poèmes-franchissements dans une traversée chaotique vers la construction de soi, de l’amour et du langage ».

*

donatien

Par la relation millénaire qu’il entretient avec l’arbre, l’être humain s’est constitué une mémoire et une pensée arborescente qui ont déterminé ses conceptions philosophiques et politiques dominantes. Les systèmes centralisés auxquels elles ont donné naissance ont privilégié la figure de l’arbre isolé et hiérarchisé aux dépends de celle de la forêt interconnectée et interdépendante. Avec l’avènement des réseaux numériques et des théories de la complexité, le psychisme humain est-il en passe de se métamorphoser ? Cette évolution ira-t-elle vers l’émergence d’une pensée rhizomique, décentralisée et écosystémique ? Mettra-t-elle fin à la déconnexion de l’homme avec la nature ? Continuera-t-elle au contraire à l’accentuer, précipitant le désastre écologique et climatique en marche ?

De ce postulat, le poète Donatien Garnier a créé L’arbre intégral, un projet en trois volets comprenant un livre web, un spectacle en réalité augmentée et une installation forestière. Il nous en livre une lecture interactive et en mouvement.

Classé dans: 2.10 Littérature française

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L.L.L #48

Laura Vazquez est en résidence à la Fondation Jan Michalski jusqu’au 20 décembre. Depuis quatre années, chaque jour elle se filme en train de dire un mot. A la fin du mois, elle les met dans l’ordre et nous offre ses étonnants arrangements en ligne. Le L.L.L #48 du mois d’octobre in situ.

Les phrases, une autre vidéo de Laura Vazquez tounée dans sa cabane et publiée récemment par Remue.net.

Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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Monarques

Actuellement en résidence et pleine rédaction de son Pardon pour l’Amérique, immense projet autour des prisonniers condamnés à tort dans les prisons du Sud des Etats-Unis, Philippe Rahmy s’offre néanmoins un interstice avec la sortie aujourd’hui de Monarques aux éditions de la Table Ronde. Un récit autobiographique revenant sur ses racines familiales, ses études et petits boulots à Paris, en y entrecroisant le destin d’une figure du passé, un jeune adolescent juif ayant fui l’Allemagne nazie en 1936, Herschel Grynszpan.
Voici quelques jours, Philippe Rahmy a enregistré un entretien animé par David Collin pour l’émission Versus.

A noter que Philippe Rahmy va publier un long et poignant article reprenant les thématiques de Pardon pour l’Amérique dans le prochain numéro de La Couleur des jours.

Classé dans: 2.30 Littérature suisse de langue française

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Le Plancher

Plancher PLQ

© Perrine Le Querrec, Le plancher, décembre 2016 

 
En 2005, Perrine Le Querrec rencontre Jeannot l’Écrivain qui « perce les verrous de l’écriture à venir ». Elle raconte quelque part :

Ma première rencontre avec le plancher de Jeannot date de 2005, à la bibliothèque François Mitterrand. Hall Est, ce n’est pas le silence qui m’accueille, mais une clameur, un hurlement. Le plancher se dresse dans la lumière, trois surfaces creusées, martelées, saignées à blanc. Je m’approche, aucune paroi ne me sépare de lui, inutile de lever la tête, il est là, devant moi, attaque ma rétine, mon système nerveux, je lis, ne comprends pas, me perds, j’entends les coups, je vois Jeannot sans même encore connaître son histoire, je vois Artaud crever la page d’écriture de son marteau. Je rencontre Jeannot l’Écrivain. Plus tard, le plancher est démonté, exposé dans plusieurs lieux d’art brut, c’est Jeannot l’Artiste. Encore plus tard, le laboratoire pharmaceutique qui l’a acquis le dévoile aux représentants comme avertissement si l’on ne consomme pas ses médicaments, c’est Jeannot le Schizophrène. Depuis plusieurs années le plancher est visible rue Cabanis, contre un mur de l’hôpital Sainte-Anne. Mal exposé, mal conservé, il attend depuis 3 ans une salle qui doit lui être consacrée. C’est Jeannot le Coupable, celui qui encombre, la société, les mémoires, ce sont ceux dont on se détourne, ce sont les lits supprimés des hôpitaux psychiatriques, ce sont les SDF abandonnés, les malades abusivement enfermés en prison, tous les fragiles, les différents, les marginaux, les furieux.

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Classé dans: 2.10 Littérature française

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Les Colonies

tom

Poète, essayiste et traducteur, Tomasz Różycki est né en 1970 à Opole en Silésie. Son poème Dwanaście stacji (Douze stations) a obtenu le prix littéraire Kościelski en 2004 et a été nommé pour le prix Nike en 2005. En traduction française, sont publiés certains poèmes en 2005 dans l’ouvrage collectif Trois poètes polonais aux Editions du Murmure et en 2006 son recueil Les Colonies aux éditions L’improviste. Actuellement en résidence à la Fondation, Tomasz Różycki a choisi cinq poèmes de ce dernier recueil qu’il nous lit en polonais puis dans la traduction française de Jacques Burko.

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Classé dans: 1.30 Littérature polonaise

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Les machines célibataires

grand verreModell vor dem Großen Glas von Marcel Duchamp, Philadelphia Museum of Art, 1954 ©Munchner Stadtmuseum/Sammlung Fotografie, Archiv Hermann Landshoff / courtesy Schirmer/Mosel

Après la traduction en allemand d’auteurs français du XXème siècle comme Gaston de Pawlowski, Jean-Pierre Brisset, Raymond Roussel ou encore dernièrement René Daumal, Maximilian Gillessen poursuit son travail de traduction et d’édition avec Les machines célibataires de Michel Carrouges. En marge du surréalisme, ce livre singulier puise son inspiration du chef d’œuvre de Marcel Duchamp Le grand verre, autrement nommée La mariée mise à nu par ses célibataires, même.

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Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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