Journal du journal de La Construction
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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Les premiers jours

Les premiers jours

Charles Olson (1910-1970) auteur des célèbres Maximus Poems est un arrivé tardif dans le monde de la poésie. Après avoir travaillé dans la haute administration à Washington, il quitte tout et reprend sa thèse d’étudiant en littérature sur Moby Dick et la publie en 1947 sous le titre Appelez-moi Ismaël. Un essai étrange, surprenant par sa construction quelque peu brouillonne et emportée – c’est aussi ce qui fait son charme. Il est facile de voir ce qui a harponné Olson dans sa fascination pour l’œuvre magistrale d’Herman Melville, cette matrice où sont réunis tous les thèmes fondateurs de la littérature américaine. L’extrait ci-dessous en présente certains. La suite de Appelez-moi Ismaël se poursuivra par une description de l’industrie de la baleine ou encore l’influence de Shakespeare sur Melville. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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« Agh, c’est pas du tout comme ça. »

Intervenir

 

Goûts.

« Il n’y a aucune raison pour que le même homme aime les mêmes livres à dix-huit ans comme à quarante-huit.
Il y a certaines divisions, certaines dissociations que je m’abstiens de faire parce que je ne pense pas qu’à mon âge, je doive imposer au jeune lecteur les goûts d’un homme mûr.
Dieu merci il est des livres qu’on apprécie SURTOUT avant vingt-cinq ans, et d’autres livres qu’on peut ENCORE lire à quarante-cinq et qu’on souhaite pouvoir lire au déclin de sa vie.
Réalisme, romantisme, les hommes tels qu’on les voit, les hommes tels qu’on les imagine ou tels qu’ils sont « dramatisés », les hommes tels qu’on imagine tout simplement qu’ils ne sont PAS… (suite…)

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise, 8.20 Littérature américaine

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Voix de ceux qui n’en ont pas

Il y a des choses dont il est impossible de parler. On ne peut les évoquer qu’en peignant. Et encore, à dire vrai, même cela n’est pas possible. (Jacek Dehnel)

C’était une chienne, elle s’appelait Vanda, pas avec un w, un v simple, d’animal errant qu’elle était. (Antonio Tabucchi)

La compassion absolue est le seul réel dans un univers où tout est illusoire sauf la douleur. (Yves Bonnefoy)

 Le chien
Francisco de Goya, Le Chien, 1820-1823.

 

Entre 1820 et 1823, Francisco de Goya peint a secco sur les murs de sa maison de campagne au nom prédestiné, la Quinta del Sordo (« Maison du Sourd »), la série de ses quatorze Peintures noires (suite…)

Classé dans: 1.30 Littérature polonaise, 2.10 Littérature française, 6.10 Littérature italienne, VARIA

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El rumor de los bordes

Kiltro Film

Rencontre samedi soir à la libraire L’Albatros (GE) de deux écrivains péruviens Martin Mucha et Diego Trelles Paz pour leurs romans Tus ojos en una ciudad gris et Bioy. A la marge, trois écarts possibles au roman noir latino-américain par Diego Trelles Paz :

Vicente Leñero, Los Albañiles
Mempo Giardinelli, Luna Caliente
Jorge Ibargüengoitia, Las muertas

Classé dans: 4.70 Littérature mexicaine, 4.87 Littérature péruvienne

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Berzona

Max Frisch

 

Un Max Frisch (1911-1991) remis à l’honneur ces dernières semaines grâce aux rééditions de son Livret de service et de son Guillaume Tell pour les écoles chez l’éditeur genevois Héros-Limite. Ces deux essais au vitriol sur les piliers fondamentaux de la mythologie suisse avait en leur époque créé une inimitié profonde entre l’opinion publique et l’écrivain zurichois. Inimitié qui ne s’estompera jamais vraiment. (suite…)

Classé dans: 7.30 Littérature suisse de langue allemande

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« Je ne suis pas resté longtemps là-bas. »

Max Frisch

« … un appartement de deux pièces et demie, au dernier étage du Lochergut à Zürich. Comme on le voit l’aménagement est rudimentaire. – Je m’étais installé par décision idéologique : je ne voulais plus habiter le beau Zurich que je connaissais, mais dans une structure sociale différente. Cependant nul contact nouveau n’en est résulté. (suite…)

Classé dans: 7.30 Littérature suisse de langue allemande

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