Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC

Beckett et les concombres

slide

Né en 1986, Matías Battistón est un traducteur littéraire argentin. Au cours des cinq dernières années, il a signé la traduction en espagnol de plus de trente ouvrages d’auteurs tels que Marcel Proust, James Joyce, Oscar Wilde, John Cage, Édouard Levé ou encore Samuel Beckett.
C’est sur ce dernier qu’il a choisi d’intervenir ce mardi, nous offrant une conférence presque borgésienne sur l’expérience vertigineuse de traduire l’auteur de L’innommable.

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise

Poster un commentaire

« Agh, c’est pas du tout comme ça. »

Intervenir

 

Goûts.

« Il n’y a aucune raison pour que le même homme aime les mêmes livres à dix-huit ans comme à quarante-huit.
Il y a certaines divisions, certaines dissociations que je m’abstiens de faire parce que je ne pense pas qu’à mon âge, je doive imposer au jeune lecteur les goûts d’un homme mûr.
Dieu merci il est des livres qu’on apprécie SURTOUT avant vingt-cinq ans, et d’autres livres qu’on peut ENCORE lire à quarante-cinq et qu’on souhaite pouvoir lire au déclin de sa vie.
Réalisme, romantisme, les hommes tels qu’on les voit, les hommes tels qu’on les imagine ou tels qu’ils sont « dramatisés », les hommes tels qu’on imagine tout simplement qu’ils ne sont PAS… (suite…)

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise, 8.20 Littérature américaine

Poster un commentaire


Suivez notre Blog par email




Derniers articles


Archives


Catégories