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Des traductions dans le rétro

Par Philippe Garnier

Pour le deuxième « Cours de littérature » du cycle américain, l’écrivain, traducteur et journaliste Philippe Garnier est intervenu à la Fondation Michalski ce jeudi 4 mai.
Né en 1949 au Havre, où il a été disquaire et parallèlement chroniqueur pour le magazine Rock & Folk,  Philippe Garnier s’installe en 1975 aux Etats-Unis : San Francisco d’abord, puis Los Angeles où il poursuit son activité journalistique en proposant de singuliers reportages sur la culture populaire américaine, repris en 2011 dans le recueil L’oreille d’un sourd. Son intérêt pour la littérature américaine et ses écrivains se manifeste aussi dans ce très beau recueil sur les marges, Maquis : aperçu d’un autre paysage américain (1993). Le cinéma est un autre domaine de prédilection de Philippe Garnier, comme en témoigne le livre Honni soit Malibu où il explore les coulisses de Hollywood de 1933 à 1945, à la poursuite des écrivains qui font le quotidien de Sunset Boulevard. En parallèle, il défriche et fait découvrir au public francophone à travers ses singulières traductions de nombreux auteurs – aujourd’hui devenus cultes – comme Charles Bukowski, John Fante, James Ross, James Slater et bien d’autres.

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Vanishing Point

Zabriskie PointZabriskie Point (Etats-Unis), 2000. Crédits : © Antoine D’Agata / Magnum Photos

 

Dans son esquisse à un troisième journal, Max Frisch écrivait qu’aux américains leur manquait un rapport au tragique. Joan Didion dans son Année de la pensée magique – essai remarquable et sans détour sur la mort de son mari John Gregory Dunne – n’enlèvera en rien  la pertinence de la remarque de l’écrivain zurichois. Pas de tragédie donc, elle attaque le deuil comme elle seule sait le faire. Comme elle l’avait fait pour l’avortement de Maria dans Play It As It Lays : d’une façon clinique, laconique et cruelle. Né dans une vieille famille américaine de souche alsacienne en 1934, elle fourbira sa plume dans les grands magazines de l’époque Vogue ou encore le New York Time avec de longs reportages qui seront regroupés sous le titre Amérique pour l’édition française avant de passer aux romans. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Los Angeles transfert

Los Angeles
© René Burri, USA. Los Angeles, California, 1984

New-York a son Manhattan Transfert ; Chicago, son Sister Carrie ; Los Angeles, quant à elle, n’aurait pas de roman total bien à elle. Pourrait-on l’expliquer par leurs formes si différentes ? (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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