Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC

Deux temps, trois mouvements

Deux temps tois mouvements

La sortie d’une volumineuse biographie de Jean-Luc Moreau [1] sur Pierre Herbart (1903-1974)  nous donne l’occasion de revenir sur cet écrivain quelque peu tombé dans l’oubli depuis sa mort. La ligne de force [2] retrace, en deux temps, trois mouvements, l’engagement de l’écrivain : des horreurs de l’Indochine (son engagement communiste vient de là), les débuts de la guerre sino-japonaise, son expatriation à Moscou comme rédacteur en chef de la Revue littéraire internationale pendant les purges staliniennes, la guerre d’Espagne et la libération vaudevillesque de Rennes. (suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

Poster un commentaire

Sans plumes

Sans plume


Figure de la littérature péruvienne, Julio Ramón Ribeyro (1929-1994) a fait le choix  – comme beaucoup d’autres auteurs sud-américains dans les années 50-60 – de venir s’installer à Paris pour écrire. Il vivra même un temps dans le même appartement que Mario Vargas Llosa. Ribeyro s’est essayé à de multiples genres littéraires. Ses nouvelles sont d’une grande qualité ; notamment dans les recueils Charognards sans plumes et Silvio et la roseraie. Les deux extraits proposés sont  tirés de ses Proses apatrides,  spicilège de 200 courts textes, distillant des réflexions sur la vie et la littérature avec tendresse et mélancolie.[1] (suite…)

Classé dans: 4.87 Littérature péruvienne

Poster un commentaire

Le 20 janvier

Sylvain Maestraggi

« Peu lui importait le chemin, tantôt montant, tantôt descendant. Il n’éprouvait pas de fatigue, mais seulement il lui était désagréable parfois de ne pas pouvoir marcher sur la tête. Au début il se sentait oppressé, lorsque les pierres se mettaient à rouler, lorsque la forêt grise s’agitait à ses pieds et que le brouillard tantôt engloutissait toutes les formes, tantôt découvrait à demi ces membres gigantesques, il se sentait le cœur serré, il cherchait quelque chose comme des rêves perdus mais il ne trouvait rien. Tout lui paraissait si petit, si proche, si mouillé, il aurait aimé mettre la terre derrière le poêle, il ne comprenait pas comment il lui fallait tant de temps pour dévaler une pente et atteindre un point éloigné ; il pensait devoir tout enjamber en quelques pas. » [1]

(suite…)

Classé dans: 7.10 Littérature allemande, VARIA

Poster un commentaire

Ces messieurs de la politique

Carl Michael von Hausswolff, Alamount 1986

Moins connu que Sadegh Hedayat, Mohammad Ali-Jamalzadeh (1892-1997) est l’un des écrivains qui ont fait basculer la littérature perse dans la « modernité ». Des préoccupations plus réalistes, un style d’écriture vacillant entre un lyrisme proche des Ghazals et une langue populaire tout droit sortie du bazar de Téhéran caractérise ce renversement des lettres persanes dans la première moitié du XXème siècle. (suite…)

Classé dans: 3.15 Littérature iranienne

Poster un commentaire

Qui cherche sera trouvé

Anna Puig Rosado, 2000

Le 12 février 2014, le prix Saif Ghobash Banipal Arabic Literary Translation [1] récompensait William Maynard Hutchins pour sa traduction anglaise du roman de Wajdî al-Ahdal, Bilâd bilâ Samâ’, publié à Sanaa en 2008. Après le scandale que causa au Yémen la publication de son premier roman [2], cet « enfant terrible de la littérature yéménite [3] » nous offre une nouvelle satire de la société yéménite sous la forme d’un polar fantastique. (suite…)

Classé dans: 3.27 Littérature arabe

Poster un commentaire


Suivez notre Blog par email




Derniers articles


Archives


Catégories