Journal du journal de La Construction
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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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On n’est pas des indiens c’est dommage

Indiens© Guy le Querrec, Sur la piste de Big Foot

Avec son visage émacié et sa fine barbe, on pourrait le prendre facilement pour le frère jumeau d’Ezra Pound – lequel qualifiait Jaime de Angulo d’ « Ovide américain ». Jaime de Angulo est un drôle de personnage comme seuls les Etats-Unis savent en accoucher. Né en 1887 à Paris dans une famille d’aristocrates espagnols, il part vers les Etats-Unis au début du XXème siècle et c’est là-bas que Jaime de Angulo devient cow-boy et s’éprend des cultures indiennes en train de péricliter dans le Nord de la Californie. (suite…)

Classé dans: 8.20 Littérature américaine

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Voces / Voix

Maison Porchia© Ángel Ros, La dernière maison d’Antonio Porchia dans le quartier de Los Olivos, Calle Malaver 1647

Nous allions lui rendre visite dans des maisons chaque fois plus petites, après qu’il dut vendre celle qu’il avait héritée de son frère et en acheter une plus modeste et plus éloignée du centre, pour survivre un temps avec la différence. Mais on y voyait toujours les tableaux que lui avaient donnés leurs auteurs, parmi lesquels certains des plus côtés de la peinture argentine de ce siècle (Potorutti, Victorica, Quinquela Martín, Castagnino, Soldi, Butler, Forner etc.). (suite…)

Classé dans: 4.80 Littérature argentine

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Quand le lieu guérira

Ici, Adam se souvient de sa glaise.
Mahmoud Darwich

Viens me voir là-bas, mets de gros souliers, parce que je
t’emmènerai dans des terrains pleins de cailloux et d’argile.
Jabra Ibrahim Jabra

 SR 1

©Sophie Ristelhueber, WB # 6 (2005)

Sans doute la Cisjordanie n’avait-elle jamais été photographiée comme elle le fut par Sophie Ristelhueber durant les deux séjours qu’elle y effectua, en novembre 2003 et février 2004. L’artiste, qui s’attache depuis trente ans « aux désordres de lieux traversés par des événements majeurs » (la guerre civile à Beyrouth, la première guerre du Golfe, les conflits balkaniques, l’Irak), revenait dans une interview sur la genèse de son œuvre réalisée en Cisjordanie : (suite…)

Classé dans: 3.27 Littérature arabe, VARIA

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Comme le vôtre, répondit-elle.

Comme le votre© Gueorgui Pinkhassov, Baku, 2009

Celui qui voulut être marin toute sa vie, Alexandre Grine (1880-1932), a toujours été un écrivain naviguant au large de la littérature russe des années vingt. Pour tracer des accointances littéraires, on pourrait rapprocher L’attrapeur de rats aux nouvelles de l’uruguayen Horacio Quiroga pour leur caractère enfiévré et cette lente macération des êtres dans les jungles. Le chef-d’œuvre de Grine se déroule dans une autre jungle – urbaine et administrative – celle du bâtiment désaffecté de la Banque Centrale de Petrograd. (suite…)

Classé dans: 1.10 Littérature russe

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Eloge de l’ombre

OmbreAnonym, Werbebild für Blow-Up, 1966, Silbergelatine-Abzug, 20.7 x 25.4 cm
Courtesy Philippe Garner © Neue Visionen Filmverleih GmbH/Turner Entertainment Co.- A Warner Bros. Entertainment Company. All rights reserved.

Paris devient Londres, l’Île de la Cité Maryon Park, la belle femme blonde surprise par le photographe reste une belle femme blonde et le narrateur ne sait toujours pas s’il doit raconter son histoire à « la première ou à la deuxième personne du singulier, ou à la troisième du pluriel, ou en inventant au fur et à mesure des formes nouvelles ». (suite…)

Classé dans: 4.80 Littérature argentine

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Lointain intérieur

À l’occasion de l’exposition des œuvres picturales d’Henri Michaux en février 2015 au sein de la Fondation Jan Michalski ; la bibliothèque vous proposera au cours des prochains mois une série d’articles sur le poète belge. Dans la mesure du possible, nous essaierons de relier ses œuvres écrites, picturales à des œuvres contemporaines. Ceci dans l’idée de mettre en avant des artistes, écrivains qui prennent appui de l’œuvre d’Henri Michaux pour s’en inspirer ou pour créer.

 

Quito Verde

© Oswaldo Guayasamin, Quito Verde

C’est bien dans le port des partances, Marseille, dans l’attente du navire qui embarque les inquiets vers les lointains, que commence véritablement l’histoire d’Ecuador : Journal de voyage. (suite…)

Classé dans: 2.20 Littérature belge de langue française

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