25 février 2015
Quimera sur la littérature suisse
La revue espagnole Quimera propose pour son numéro de février 2015 un long dossier sur la littérature suisse. S’y trouvent entre autres, les écrivains Roland Buri, Pierre Lepori, Dorothée Elmiger et l’auteur de Faut quitter Schummertal ! Pedro Lenz. Quant à l’édition suisse, elle est mise en avant avec un entretien de Caroline Coutau des Editions Zoé.
Le sommaire plus détaillé ici
La revue est disponible dans notre espace presse
24 février 2015
Vanishing Point
Zabriskie Point (Etats-Unis), 2000. Crédits : © Antoine D’Agata / Magnum Photos
Dans son esquisse à un troisième journal, Max Frisch écrivait qu’aux américains leur manquait un rapport au tragique. Joan Didion dans son Année de la pensée magique – essai remarquable et sans détour sur la mort de son mari John Gregory Dunne – n’enlèvera en rien la pertinence de la remarque de l’écrivain zurichois. Pas de tragédie donc, elle attaque le deuil comme elle seule sait le faire. Comme elle l’avait fait pour l’avortement de Maria dans Play It As It Lays : d’une façon clinique, laconique et cruelle. Né dans une vieille famille américaine de souche alsacienne en 1934, elle fourbira sa plume dans les grands magazines de l’époque Vogue ou encore le New York Time avec de longs reportages qui seront regroupés sous le titre Amérique pour l’édition française avant de passer aux romans. (suite…)
Classé dans: 8.20 Littérature américaine
16 février 2015
Homo Faber (Trois femmes)
Daphné Baiwir dans Homo faber (trois femmes) de Richard Dindo (2014)
Après avoir mis en image les deux journaux et le récit Montauk de Max Frisch d’une façon magistrale en 1980 dans Journal I-III, le cinéaste zurichois Richard Dindo revient aujourd’hui avec une adaptation à la fois très libre visuellement mais aussi très fidèle dans sa narration d’un autre roman fameux de l’écrivain zurichois, Homo Faber. (suite…)
3 février 2015
Paradjanov, visions littéraires
Sise sur une colline d’Erevan surplombant le canal Nizhne-Razdanskiy se trouve la dernière demeure de l’excentrique cinéaste Sergueï Paradjanov (1924-1990). C’est aujourd’hui un musée où sont exposées des œuvres surprenantes faites de collages, de chapeaux, poupées surréalistes et de peintures folles. Force est de constater l’auteur des Chevaux de Feux n’a donc pas seulement officié avec brio dans le monde du cinéma mais également dans d’autres domaines. (suite…)
Classé dans: 1.70 Littérature caucasienne, VARIA