17 mai 2017
Les machines célibataires
Modell vor dem Großen Glas von Marcel Duchamp, Philadelphia Museum of Art, 1954 ©Munchner Stadtmuseum/Sammlung Fotografie, Archiv Hermann Landshoff / courtesy Schirmer/Mosel
Après la traduction en allemand d’auteurs français du XXème siècle comme Gaston de Pawlowski, Jean-Pierre Brisset, Raymond Roussel ou encore dernièrement René Daumal, Maximilian Gillessen poursuit son travail de traduction et d’édition avec Les machines célibataires de Michel Carrouges. En marge du surréalisme, ce livre singulier puise son inspiration du chef d’œuvre de Marcel Duchamp Le grand verre, autrement nommée La mariée mise à nu par ses célibataires, même.
C’est à travers une lecture de cette œuvre essentielle que Maximilian Gillessen, actuellement en résidence à la Fondation, nous introduit aux Machines célibataires. Cette traduction sera éditée prochainement par la maison d’édition de Maxilimian Gillessen : zero sharp.
Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA
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