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Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
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Les jeudis en résidence #7 : Camille de Toledo

rostro

Partir des images pour parler de littérature. Évoquer une œuvre à partir de photographies, de peintures. Voilà ce que propose Camille de Toledo ce jeudi 2 mai à la Fondation Michalski.
Rostropovitch jouant du violoncelle devant le Mur de Berlin en novembre 1989 pour évoquer l’Europe et la bascule historique, entre la fin du XXe siècle et le début du XXIe siècle. Le portrait d’Antoine Vollard par Pablo Picasso pour vous faire comprendre ce qu’est une forme en littérature et pourquoi ce tableau est lié à Vies potentielles, le roman en fragments de l’écrivain paru en 2010. Une image du 11 septembre 2001, pour essayer de voir ce qui structure notre époque et ce qui a inspiré son opéra, La Chute de Fukuyama, joué pour la première fois en 2013 à Paris…

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Classé dans: 2.10 Littérature française

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Les jeudis en résidence #4 : Violaine Bérot

kalvar

© Richard Kalvar, Cirque de Gavarnie, 1999

« Écrire, ce n’est pas raconter des histoires. Écrire, c’est chercher comment raconter ces histoires. À partir de presque rien – les mots, la ponctuation –, il s’agit de travailler la langue jusqu’à ce que la forme dise le fond. Il n’y a alors plus aucune limite, plus aucun tabou : l’écriture peut tout faire entendre. »

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Les jeudis en résidence #3 : Laurent Perez

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Bernard Dufour, Le bandeau, 2015

 

Comment peut-on être Gobineau ? Pourquoi un écrivain voyageur, l’un des esprits les moins xénophobes de son temps, a-t-il consacré une partie de sa vie à l’élaboration de théories racistes ? Et pourquoi sa renommée posthume a-t-elle si souvent préféré ses plus mauvaises œuvres ? Le travail de Laurent Perez consiste à recueillir des matériaux documentaires qu’il assemble de façon kaléidoscopique afin de répondre à ces questions. Ses récits sont autant de plongées dans les mécanismes de l’erreur, de l’illusion, du préjugé, de l’aveuglement.

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… et Pierre Jeanneret

par Emmanuel Adely

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 Ce serait un hommage à un homme, à un homme inconnu, méconnu ? Inconnu. Pierre Jeanneret. Qui ? Le cousin de, toujours à préciser – un homme à préciser -, insaisi, sur lequel rien ou quasiment n’a été fait ou dit, un hommage à la discrétion. À l’élégance de l’effacement, derrière l’œuvre, un hommage à l’engagement, un engagement total, un engagement de quinze ans, derrière l’œuvre, sous l’immensité de l’œuvre. Quelle œuvre ? Une ville. Chandigarh. Rien moins qu’une ville : un monde. Ce serait l’hommage à cette œuvre-là – de cet homme-là à préciser.

… et Pierre Jeanneret est un work in progress, l’annonce d’un film, une dérive dans une vie et dans une ville.

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L’alphabet plutôt que rien / L’arbre intégral

Constance Chlore et Donatien Garnier font partie des premiers auteurs en résidence pour cette année 2018. Ils nous offrent chacun une lecture de leur poésie.

*

constance

Constance Chlore a choisi de nous lire des extraits de son dernier recueil L’alphabet plutôt que rien qu’elle définit comme « poèmes-étapes, des poèmes-franchissements dans une traversée chaotique vers la construction de soi, de l’amour et du langage ».

*

donatien

Par la relation millénaire qu’il entretient avec l’arbre, l’être humain s’est constitué une mémoire et une pensée arborescente qui ont déterminé ses conceptions philosophiques et politiques dominantes. Les systèmes centralisés auxquels elles ont donné naissance ont privilégié la figure de l’arbre isolé et hiérarchisé aux dépends de celle de la forêt interconnectée et interdépendante. Avec l’avènement des réseaux numériques et des théories de la complexité, le psychisme humain est-il en passe de se métamorphoser ? Cette évolution ira-t-elle vers l’émergence d’une pensée rhizomique, décentralisée et écosystémique ? Mettra-t-elle fin à la déconnexion de l’homme avec la nature ? Continuera-t-elle au contraire à l’accentuer, précipitant le désastre écologique et climatique en marche ?

De ce postulat, le poète Donatien Garnier a créé L’arbre intégral, un projet en trois volets comprenant un livre web, un spectacle en réalité augmentée et une installation forestière. Il nous en livre une lecture interactive et en mouvement.

Classé dans: 2.10 Littérature française

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Sur les volcans

 Par Patrick Deville

st naz

Depuis près de vingt ans, avec notamment Pura Vida, La tentation des armes à feu et Viva, l’Amérique latine est la base arrière pour l’écriture des «romans sans fiction» que nous offre Patrick Deville. Son dernier roman Taba-Taba ne déroge pas à la règle, avec des traits d’union en Équateur, au Mexique ou encore au Pérou. Les diverses actions que mène sa Maison des écrivains étrangers et traducteurs à Saint-Nazaire, dont la remise du Prix de la jeune littérature latino-américaine, permettent également de nous avec lui plonger dans la création littéraire actuelle.

 

Classé dans: 2.10 Littérature française, 4. LITTÉRATURE DE LANGUE ESPAGNOLE

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L.L.L #48

Laura Vazquez est en résidence à la Fondation Jan Michalski jusqu’au 20 décembre. Depuis quatre années, chaque jour elle se filme en train de dire un mot. A la fin du mois, elle les met dans l’ordre et nous offre ses étonnants arrangements en ligne. Le L.L.L #48 du mois d’octobre in situ.

Les phrases, une autre vidéo de Laura Vazquez tounée dans sa cabane et publiée récemment par Remue.net.

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Le Plancher

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© Perrine Le Querrec, Le plancher, décembre 2016 

 
En 2005, Perrine Le Querrec rencontre Jeannot l’Écrivain qui « perce les verrous de l’écriture à venir ». Elle raconte quelque part :

Ma première rencontre avec le plancher de Jeannot date de 2005, à la bibliothèque François Mitterrand. Hall Est, ce n’est pas le silence qui m’accueille, mais une clameur, un hurlement. Le plancher se dresse dans la lumière, trois surfaces creusées, martelées, saignées à blanc. Je m’approche, aucune paroi ne me sépare de lui, inutile de lever la tête, il est là, devant moi, attaque ma rétine, mon système nerveux, je lis, ne comprends pas, me perds, j’entends les coups, je vois Jeannot sans même encore connaître son histoire, je vois Artaud crever la page d’écriture de son marteau. Je rencontre Jeannot l’Écrivain. Plus tard, le plancher est démonté, exposé dans plusieurs lieux d’art brut, c’est Jeannot l’Artiste. Encore plus tard, le laboratoire pharmaceutique qui l’a acquis le dévoile aux représentants comme avertissement si l’on ne consomme pas ses médicaments, c’est Jeannot le Schizophrène. Depuis plusieurs années le plancher est visible rue Cabanis, contre un mur de l’hôpital Sainte-Anne. Mal exposé, mal conservé, il attend depuis 3 ans une salle qui doit lui être consacrée. C’est Jeannot le Coupable, celui qui encombre, la société, les mémoires, ce sont ceux dont on se détourne, ce sont les lits supprimés des hôpitaux psychiatriques, ce sont les SDF abandonnés, les malades abusivement enfermés en prison, tous les fragiles, les différents, les marginaux, les furieux.

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Les machines célibataires

grand verreModell vor dem Großen Glas von Marcel Duchamp, Philadelphia Museum of Art, 1954 ©Munchner Stadtmuseum/Sammlung Fotografie, Archiv Hermann Landshoff / courtesy Schirmer/Mosel

Après la traduction en allemand d’auteurs français du XXème siècle comme Gaston de Pawlowski, Jean-Pierre Brisset, Raymond Roussel ou encore dernièrement René Daumal, Maximilian Gillessen poursuit son travail de traduction et d’édition avec Les machines célibataires de Michel Carrouges. En marge du surréalisme, ce livre singulier puise son inspiration du chef d’œuvre de Marcel Duchamp Le grand verre, autrement nommée La mariée mise à nu par ses célibataires, même.

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Minuit en mon silence

Cendors© Mathieu Zazzo

A l’occasion de la sortie de son nouveau livre Minuit en mon silence aux éditions Le Tripode, l’écrivain Pierre Cendors, actuellement en résidence à la Fondation, nous a fait le plaisir cet après-midi de lire un extrait de son texte. La lecture est précédée d’une brève introduction.

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