Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC
Journal du journal de La Construction
En résidence
Journal du journal de La Construction, par PERRINE LE QUERREC

Histoire d’une dévoration

par Alban Lefranc

8heures

« J’avais, tout simplement et sans en avoir conscience, fait de l’imaginaire de Döblin ma propre vie. » Rainer Werner Fassbinder n’a pas seulement adapté pour la télévision le roman monstre d’Alfred Döblin, Berlin Alexanderplatz, paru en 1929, à travers une série de quatorze épisodes. Entre lui et ce livre qui, adolescent, « l’empêche de crever », il y a bien plus qu’un dialogue ou le choix calme et réfléchi de certains thèmes ou principes esthétiques : l’amour comme l’instrument le plus efficace de l’oppression sociale, l’élévation dans le mythe de personnages en apparence insignifiants, le goût du mélodrame, etc. Dans presque tous ses films, le cinéaste tord le roman à travers ses obsessions propres, le déplace, le réinvente, mais le roman résiste et le tord en retour.
L’écrivain Alban Lefranc, actuellement en résidence, décrit pour nous quelques moments de cet étrange corps à corps entre un livre et un cinéaste.

(suite…)

Classé dans: 7.10 Littérature allemande

Poster un commentaire

Beckett et les concombres

slide

Né en 1986, Matías Battistón est un traducteur littéraire argentin. Au cours des cinq dernières années, il a signé la traduction en espagnol de plus de trente ouvrages d’auteurs tels que Marcel Proust, James Joyce, Oscar Wilde, John Cage, Édouard Levé ou encore Samuel Beckett.
C’est sur ce dernier qu’il a choisi d’intervenir ce mardi, nous offrant une conférence presque borgésienne sur l’expérience vertigineuse de traduire l’auteur de L’innommable.

Classé dans: 8.11 Littérature irlandaise

Poster un commentaire

L’alphabet plutôt que rien / L’arbre intégral

Constance Chlore et Donatien Garnier font partie des premiers auteurs en résidence pour cette année 2018. Ils nous offrent chacun une lecture de leur poésie.

*

constance

Constance Chlore a choisi de nous lire des extraits de son dernier recueil L’alphabet plutôt que rien qu’elle définit comme « poèmes-étapes, des poèmes-franchissements dans une traversée chaotique vers la construction de soi, de l’amour et du langage ».

*

donatien

Par la relation millénaire qu’il entretient avec l’arbre, l’être humain s’est constitué une mémoire et une pensée arborescente qui ont déterminé ses conceptions philosophiques et politiques dominantes. Les systèmes centralisés auxquels elles ont donné naissance ont privilégié la figure de l’arbre isolé et hiérarchisé aux dépends de celle de la forêt interconnectée et interdépendante. Avec l’avènement des réseaux numériques et des théories de la complexité, le psychisme humain est-il en passe de se métamorphoser ? Cette évolution ira-t-elle vers l’émergence d’une pensée rhizomique, décentralisée et écosystémique ? Mettra-t-elle fin à la déconnexion de l’homme avec la nature ? Continuera-t-elle au contraire à l’accentuer, précipitant le désastre écologique et climatique en marche ?

De ce postulat, le poète Donatien Garnier a créé L’arbre intégral, un projet en trois volets comprenant un livre web, un spectacle en réalité augmentée et une installation forestière. Il nous en livre une lecture interactive et en mouvement.

Classé dans: 2.10 Littérature française

Poster un commentaire

Sur les volcans

 Par Patrick Deville

st naz

Depuis près de vingt ans, avec notamment Pura Vida, La tentation des armes à feu et Viva, l’Amérique latine est la base arrière pour l’écriture des «romans sans fiction» que nous offre Patrick Deville. Son dernier roman Taba-Taba ne déroge pas à la règle, avec des traits d’union en Équateur, au Mexique ou encore au Pérou. Les diverses actions que mène sa Maison des écrivains étrangers et traducteurs à Saint-Nazaire, dont la remise du Prix de la jeune littérature latino-américaine, permettent également de nous avec lui plonger dans la création littéraire actuelle.

 

Classé dans: 2.10 Littérature française, 4. LITTÉRATURE DE LANGUE ESPAGNOLE

Poster un commentaire

Cent ans de littérature mexicaine

Par Philippe Ollé-Laprune

Mexico

© Mark Cohen, Mexico

Ancien directeur du Bureau du livre de l’Ambassade de France au Mexique puis de la Casa Refugio Citlaltépetl jusqu’en 2016, Philippe Ollé-Laprune a publié aux éditions La Différence Cent ans de littérature mexicaine (2007) et Mexique : les visiteurs du rêve (2009) ou encore Europe-Amérique latine : les écrivains vagabonds (2014). Il fut aussi par deux fois directeur littéraire des Rencontres de Fontevraud Pour Juan Rulfo et Pour Alvaro Mutis.

 

 

Classé dans: 4.70 Littérature mexicaine

Poster un commentaire

L.L.L #48

Laura Vazquez est en résidence à la Fondation Jan Michalski jusqu’au 20 décembre. Depuis quatre années, chaque jour elle se filme en train de dire un mot. A la fin du mois, elle les met dans l’ordre et nous offre ses étonnants arrangements en ligne. Le L.L.L #48 du mois d’octobre in situ.

Les phrases, une autre vidéo de Laura Vazquez tounée dans sa cabane et publiée récemment par Remue.net.

Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

Poster un commentaire

Poèmes et antipoèmes de Nicanor Parra

Par Bernard Pautrat

Parra_pantoufle

Nicanor Parra, Travaux publics (2006)

La sortie cet été aux éditions du Seuil de la première anthologie traduite en français de Nicanor Parra a donné l’occasion à son instigateur Bernard Pautrat de nous introduire à la personnalité et à l’œuvre du poète chilien.

 

Classé dans: 4.89 Littérature chilienne

Poster un commentaire

Programme Automne 2017

Carton latino

Classé dans: 4.70 Littérature mexicaine, 4.81 Littérature équatorienne, 4.87 Littérature péruvienne, 4.89 Littérature chilienne

Poster un commentaire

Monarques

Actuellement en résidence et pleine rédaction de son Pardon pour l’Amérique, immense projet autour des prisonniers condamnés à tort dans les prisons du Sud des Etats-Unis, Philippe Rahmy s’offre néanmoins un interstice avec la sortie aujourd’hui de Monarques aux éditions de la Table Ronde. Un récit autobiographique revenant sur ses racines familiales, ses études et petits boulots à Paris, en y entrecroisant le destin d’une figure du passé, un jeune adolescent juif ayant fui l’Allemagne nazie en 1936, Herschel Grynszpan.
Voici quelques jours, Philippe Rahmy a enregistré un entretien animé par David Collin pour l’émission Versus.

A noter que Philippe Rahmy va publier un long et poignant article reprenant les thématiques de Pardon pour l’Amérique dans le prochain numéro de La Couleur des jours.

Classé dans: 2.30 Littérature suisse de langue française

Poster un commentaire

Le Plancher

Plancher PLQ

© Perrine Le Querrec, Le plancher, décembre 2016 

 
En 2005, Perrine Le Querrec rencontre Jeannot l’Écrivain qui « perce les verrous de l’écriture à venir ». Elle raconte quelque part :

Ma première rencontre avec le plancher de Jeannot date de 2005, à la bibliothèque François Mitterrand. Hall Est, ce n’est pas le silence qui m’accueille, mais une clameur, un hurlement. Le plancher se dresse dans la lumière, trois surfaces creusées, martelées, saignées à blanc. Je m’approche, aucune paroi ne me sépare de lui, inutile de lever la tête, il est là, devant moi, attaque ma rétine, mon système nerveux, je lis, ne comprends pas, me perds, j’entends les coups, je vois Jeannot sans même encore connaître son histoire, je vois Artaud crever la page d’écriture de son marteau. Je rencontre Jeannot l’Écrivain. Plus tard, le plancher est démonté, exposé dans plusieurs lieux d’art brut, c’est Jeannot l’Artiste. Encore plus tard, le laboratoire pharmaceutique qui l’a acquis le dévoile aux représentants comme avertissement si l’on ne consomme pas ses médicaments, c’est Jeannot le Schizophrène. Depuis plusieurs années le plancher est visible rue Cabanis, contre un mur de l’hôpital Sainte-Anne. Mal exposé, mal conservé, il attend depuis 3 ans une salle qui doit lui être consacrée. C’est Jeannot le Coupable, celui qui encombre, la société, les mémoires, ce sont ceux dont on se détourne, ce sont les lits supprimés des hôpitaux psychiatriques, ce sont les SDF abandonnés, les malades abusivement enfermés en prison, tous les fragiles, les différents, les marginaux, les furieux.

(suite…)

Classé dans: 2.10 Littérature française

Poster un commentaire

« Page précédente Page suivante »

Suivez notre Blog par email




Derniers articles


Archives


Catégories