4 juin 2014
Au Mali, je crois
Domingo Milella, Cuantepc de nuit, Mexico, 2004.
Pour une fois la sempiternelle estampille du « réalisme magique » pourrait signifier quelque chose avec les récits du nicaraguayen Rodrigo Rey Rosa. Une magie, certes, mais particulière : celle à coup de pilules artificielles comme dans son dernier roman, Les sourds. Pour le réel, c’est celui du Guatemala, devenu au fil des années l’un des pays les plus violents du monde. (suite…)
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