26 octobre 2017
Poèmes et antipoèmes de Nicanor Parra
Par Bernard Pautrat
Nicanor Parra, Travaux publics (2006)
La sortie cet été aux éditions du Seuil de la première anthologie traduite en français de Nicanor Parra a donné l’occasion à son instigateur Bernard Pautrat de nous introduire à la personnalité et à l’œuvre du poète chilien.
Classé dans: 4.89 Littérature chilienne
26 septembre 2017
Programme Automne 2017
26 mai 2017
Quelques considérations sur la littérature latino-américaine
Avant la troisième session, cet automne, des « Cours de littérature en six heures un quart » qui seront consacrés à la littérature latino-américaine, l’écrivain en résidence Antônio Xerxenesky nous livre quelques considérations sur cette littérature qu’il connaît bien. Conférence qu’il a offerte au public le mardi 23 mai dans la bibliothèque.
2 septembre 2015
Images de Valparaiso
Sergio Larrain, Valparaiso
Si peu à peu le port de Valparaiso a pu perdre de sa superbe suite au percement du canal de Panama, la ville a eu, auparavant, assez de siècles bien à elle pour garder une patine certaine. Une patine faite du soulagement des équipages d’avoir dépassé le terrible Cap Horn, d’une incessante ville-monde goûtant aux marchandises du monde entier et d’écrivains. (suite…)
Classé dans: 4.89 Littérature chilienne, VARIA
8 août 2014
Ver Parra creer
© Nicanor Parra, De « Obras públicas »
En 1954, la publication de Poemas y antipoemas de Nicanor Parra (1914), marque un avant et un après dans la poésie latino-américaine. Avec le poète chilien, « les dieux descendent de leur Olympe » et la poésie se démocratise – à l’image du folk de sa sœur Violeta. Depuis ses premiers écrits, Parra sera en verve et contre tous (La politique, la poésie établie, Neruda, Huidobro etc…). (suite…)
Classé dans: 4.89 Littérature chilienne
11 juillet 2014
L’avant boom : 1959-1967
Julian Davalos, bicicleta, 2010
En une demi-douzaine d’années, cinq longues nouvelles ou si l’on préfère de courts romans redéfinissent en profondeur la littérature latino-américaine : L’homme à l’affût de Julio Cortázar (1959), Pas de lettre pour le colonel de Gabriel Garcia Marquez (1961), Aura de Carlos Fuentes (1962) , Ce lieu sans limite de José Donoso (1966) et Les chiots de Mario Vargas Llosa (1967). La même année, avec le succès fulgurant de Cent ans de solitude de Gabriel García Márquez, c’est l’annonce médiatique de ce « renouveau » estampillé du nom de boom. Ces cinq récits tous parfaits – tant dans leur forme que dans les thèmes ambitieux qu’ils développent – ne sont pas considérés comme les grands œuvres de leurs auteurs (Marelle, Cent ans de solitude, La Mort d’Artemio Cruz, L’obscène oiseau de la nuit et Conversation à la cathédrale) mais ils ont le mérite d’en contenir les germes. (suite…)