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Les jeudis en résidence #12 : Myriam Wahli

fulton

Hamish Fulton, The Wolf, 2011

Dans ses écrits, Myriam Wahli s’efforce toujours à nouveau de faire sien l’adage jodorowskien qui dit : « Le seul art qui vaut est celui qui permet de soigner. »
Son premier roman, Venir grand sans virgules, raconte les couches de sens et de valeurs que les adultes badigeonnent sur les gens, les choses, le monde, et dont une enfant se rit, qu’elle reçoit de plein fouet, aussi. Lorsque le père perd son travail, la structure familiale et son système de valeurs s’effritent. Ses thèmes de prédilection sont l’étiolement des structures de tous types auxquelles on s’identifie, ce qui se passe en dehors des normes, l’insatiable besoin d’union avec autrui et le grand tout, les peurs qui freinent, la perte et la possibilité de se recomposer en mosaïque.
L’auteure lit des extraits de trois textes : le roman Venir grand sans virgules, le projet sur lequel elle a travaillé durant sa résidence intitulé La Plaine, et enfin un poème en prose, Frontière Pyjama.

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Classé dans: 2.30 Littérature suisse de langue française

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Henry Miller, 1936 :

Rire ! conseillait Rabelais. Pour tous vos maux, le rire ! Seigneur Jésus, mais elle est difficile à assumer cette sagesse de saine gaieté après tous les remèdes de bonne femme que nous avons ingurgités ! Comment peut-on rire quand on s’est décortiqué la doublure de l’estomac ?

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Classé dans: Non classé

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Les jeudis en résidence #11 : Suzanne Doppelt

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En résidence du 5 février au 6 mars, Suzanne Doppelt a utilisé comme matériel de travail un court film anthropologique de Gian Franco Mingozzi, Tarantula. Tourné en 1961 à Galatina dans les Pouilles, le film montre un rituel public de désenvoûtement par la danse, la musique et les couleurs, où il s’agit d’arrêter une transe périodique, de soulager un état morbide produit par la morsure de l’araignée, pourtant inoffensive, qui touche certains des villageois. À partir de ce théâtre arachnéen, l’un des derniers cultes de possession en Europe, Suzanne Doppelt tire ses propres fils poétiques à travers une lecture d’extraits de son travail d’écriture. Cette lecture a été suivie de la projection de Tarantula – que nous vous proposons au visionnage (18’).

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Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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Le Film de Montricher

de Frank Smith

Résident l’automne dernier à la Fondation Michalski où il menait une recherche poético-politique consacrée à la guerre en Irak, « l’artisan du langage » Frank Smith laisse une trace vibrante de son passage à Montricher.

Musique : Under the Sun, Mark Pritchard
Texte : Jean-Philippe Cazier et Frank Smith

Classé dans: 2.10 Littérature française, VARIA

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Les jeudis en résidence #10 : Oliver Rohe

beirut

The verdant demarcation line, downtown Beirut, in 1990
(Marc Deville/Gamma-Rapho via Getty Images)

L’écrivain Oliver Rohe s’interrogera au cours de cette carte blanche sur la relation entre la littérature et la guerre. Comment l’une a représenté l’autre ? Quelles ont été les étapes décisives dans l’évolution de ce lien originaire ? Qu’est-ce que la photographie, le cinéma ou le journalisme ont modifié à la manière dont s’écrit la guerre ? Enfin, que fait en retour la guerre à la littérature ?

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Classé dans: 2.10 Littérature française

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Les jeudis en résidence #9 : Elisa Wouk Almino

ana

Ana Cristina Cesar, Campos do Jordão, agosto de 1978

Lors de ce Jeudi en résidence, Elisa Wouk Almino nous parlera du projet qu’elle développe actuellement à la Fondation Jan Michalski : sa traduction de Luvas de pelica (Kid Gloves), l’œuvre majeure de la poète Ana Cristina Cesar (1952-1983). Cette auteure connue sous le nom d’Ana C. au Brésil, devenue aujourd’hui une influence majeure de la littérature brésilienne, a publié ses poésies dans les années 70 et au début des années 80, tout en travaillant comme traductrice, journaliste et critique littéraire à Rio de Janeiro. L’occasion de revenir également sur l’amitié qui a lié Ana C. et la propre mère d’Elisa, Bia Wouk, et sur la correspondance qu’elles ont entretenue durant la rédaction de Luvas de pelica.

Plus largement, Elisa nous parlera de son travail de traductrice et d’écrivain, ainsi que de son prochain projet d’écriture, un livre ayant pour thème ce fameux mot portugais intraduisible : la saudade.

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Classé dans: 5.70 Littérature brésilienne

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Les jeudis en résidence #8 : Pierre Ducrozet

basquiat

Jean-Michel Basquiat, Peter and the Wolf, 1985

Lors de ce huitième jeudi en résidence, Pierre Ducrozet se pose la question du genre romanesque au 21e siècle : quelles formes lui donner, quelles langues, quels rythmes, quels dessins inventer, en accord (ou en désaccord) avec tous les changements esthétiques, politiques, sociétaux ? Quel roman pouvons-nous imaginer aujourd’hui ?

Il esquisse des débuts de réponses à travers la présentation de ses quatre romans déjà publiés, de Requiem pour Lola rouge (2010) à L’invention des corps (2017) et nous présente aussi des lectures qui ont été décisives pour lui et la manière dont il les utilise à l’intérieur de son travail.

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Classé dans: 2.10 Littérature française

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Les jeudis en résidence #7 : Camille de Toledo

rostro

Partir des images pour parler de littérature. Évoquer une œuvre à partir de photographies, de peintures. Voilà ce que propose Camille de Toledo ce jeudi 2 mai à la Fondation Michalski.
Rostropovitch jouant du violoncelle devant le Mur de Berlin en novembre 1989 pour évoquer l’Europe et la bascule historique, entre la fin du XXe siècle et le début du XXIe siècle. Le portrait d’Antoine Vollard par Pablo Picasso pour vous faire comprendre ce qu’est une forme en littérature et pourquoi ce tableau est lié à Vies potentielles, le roman en fragments de l’écrivain paru en 2010. Une image du 11 septembre 2001, pour essayer de voir ce qui structure notre époque et ce qui a inspiré son opéra, La Chute de Fukuyama, joué pour la première fois en 2013 à Paris…

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Classé dans: 2.10 Littérature française

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Les jeudis en résidence #6 : Elisabeth Monteiro Rodrigues

webb

© Alex Webb, Mucoroge, 2002

Traduire : accomplir son voyage dans la langue – Autour de Mia Couto

Né en 1955 au Mozambique, Mia Couto est aujourd’hui un des écrivains de langue portugaise les plus inventifs. De livre en livre, il déploie une œuvre magistrale, à la fois érudite et populaire, drôle et tragique, universelle et enracinée dans son Mozambique natal, et dont le charme, la profondeur et la poésie imprègnent tant ses romans que ses récits, chroniques et contes. Il a reçu le Prix de la francophonie en 2012 pour L’accordeur de silences (Métailié), le Prix Camões en 2013, le Prix Neustadt en 2014. D’abord parue aux éditions Albin Michel, son œuvre est désormais publiée aux éditions Chandeigne et Métailié. Histoires rêvérées et La confession de la lionne sont ses titres les plus récents.

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Classé dans: 5.50 Littérature africaine de langue portugaise

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Les jeudis en résidence #5 : Sylvain Maestraggi

turner

Joseph Mallord William Turner, A View in the Lake District : Coniston Water, 1797–1798

Autour de la promenade et du paysage

Le goût moderne du paysage, associé à celui de la promenade, s’est développé vers la fin du XVIIIe siècle. Sylvain Maestraggi présente sa traduction du Journal d’un voyage dans la région des lacs. Ce récit de voyage, composé en 1769 par le poète anglais Thomas Gray, offre un point d’entrée dans une archéologie de la promenade.

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Classé dans: 8.10 Littérature anglaise

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